M. KARA Abdelhamid

Les villes algériennes, comme les villes de la Méditerranée, n'ont pas été épargnées par l'impact négatif de certains facteurs comme la nature, le temps et l'homme (combinés ou séparés), qui les ont affectées, leur ont fait perdre un peu de leur croissance, de leur fonction, et le sentiment d'appartenance et de leur sens de civilisation. Bien que l’ancien tissu urbain et historique de ces villes ait subi l’essentiel de l’impact. Comme c'est le cas dans la plupart des centres urbains algériens, le centre-ville de M'sila, représenté par le quartier « Laargoub », fait partie de l’ancien noyau résidentiel qui souffre d'un certain nombre de problèmes qui ont affecté sa situation urbaine et fonctionnelle, et qui reflètent le mode de vie de ses habitants, ce qui a conduit à l'émergence d'un désordre urbain et à la diffusion d'une image urbaine déformée du patrimoine urbain et architectural et culturel de cette région. Avec le temps, il est devenu incapable de suivre le rythme de son développement et de son évolution et loin de ses aspirations. Afin de connaître les mécanismes nécessaires pour améliorer son environnement urbain, et agir pour son développement pour préserver ce patrimoine culturel et contenir ce phénomène, il a fallu chercher à corriger cette situation dans le but d'offrir des conditions de confort à ses habitants. C'est pourquoi, dans cette intervention, nous avons choisi de rechercher les raisons les plus importantes qui sont à l'origine des problèmes dont souffre le centre de cette ville, et ainsi proposer des solutions appropriées à cette situation, tout en préservant le patrimoine antique de la ville, qui serait compatible avec ses caractéristiques et ses composants, et travaillerait à son développement et à son amélioration.

A l'instar des villes méditerranéennes, les villes algériennes n'ont pas été épargnées par l'influence négative de certains facteurs tels que la nature, le temps et les hommes (combinés ou sporadiques) qui leur ont été infligés, ce qui a perdu un peu de leur essor, leur fonction et leur sens de la civilisation. Bien que, le tissu urbain ancien et historique de ces villes ont connu la plus grande partie de l’impact. Comme dans la plupart des centres urbains algériens, le centre-ville de M’sila fait partie des anciens quartiers résidentiels qui connaissent un certain nombre de problèmes qui ont affecté son statut urbain et fonctionnel, et qui reflètent le mode de vie de ses habitants, ce qui a entraîné l'apparition d'un désordre urbain et la diffusion d'une image urbaine déformée du patrimoine architectural de cette région. Avec le temps, Il est devenu incapable de suivre le rythme des développements et loin de ses aspirations. Afin de connaître les mécanismes nécessaires pour améliorer sa sphère urbaine et travailler à la développer et à préserver ce patrimoine culturel, et pour contenir ce phénomène, nous avons dû chercher à réformer cette situation dans le but de fournir les conditions de confort à ses habitants. Dans cette étude, nous avons donc opté pour la recherche des causes les plus importantes qui sont à l’origine des problèmes rencontrés par le centre de cette ville, et par conséquent proposer des solutions appropriées à cette situation, tout en préservant le patrimoine ancien de la ville, qui correspondrait à ses caractéristiques et à ses ingrédients et œuvrer à son de développement et sa promotion.
Mots-clés : M’sila – Tissu urbain historique - Patrimoine architectural et culturel - Centre ville – Anciens quartiers.

Algerian cities, like other cities, the Mediterranean in particular, have not been spared the negative influence of certain factors such as weather, nature, and people (combined or sporadic) that have been imposed on them. Imposed, which has lost some of its momentum, their function and their sense of civilization. However, the old and historic urban fabric of these cities has experienced most of the impact. As in most Algerian urban centers, the city center of M'sila is part of the old residential districts which are experiencing a number of problems that have affected its urban and functional status, and which reflect the way of life of its inhabitants, which has led to the appearance of urban disorder and the dissemination of a distorted urban image of the architectural heritage of this region. Over time, he became unable to keep pace with developments and was far from his aspirations. In order to know the mechanisms necessary to rehabilitate its urban sphere and work to develop it and preserve this cultural heritage, and to contain this phenomenon, we had to seek to reform this situation with the aim of providing conditions of comfort to its inhabitants. In this study, we have therefore opted for the search for the most important causes which are at the origin of the problems encountered by the center of this city, and consequently to propose appropriate solutions to this situation, while preserving the ancient heritage of the city, which would correspond to its characteristics and ingredients and work for its development and promotion.

Au XXe siècle, on peut noter l’apparition d’un certains nombre de concepts qui traduisent de nouvelles pratiques professionnelles dont l’émergence de la notion du «projet urbain» dans cette évolution ainsi que la manière dont cette notion tend, aujourd’hui à remplacer toute les autres.
Bien qu’inspiré par la charte d’Athènes (c'est-à-dire par des architectes), l’urbanisme fonctionnaliste a surtout été porté par le corps des ingénieurs des ponts et chaussées. Ces derniers, le traduisant radicalement, ont transformé l’urbanisme moderne en urbanisme réglementaire, réduisant ainsi à des normes et à des lois (au sens du droit) quelque chose qui était beaucoup plus complexe. Ce qui a poussé les architectes à mettre au jour le concept «projet urbain »pour contrer l’urbanisme moderne qui était un échec.
En effet, les acteurs qui font la ville se doivent, de résoudre simultanément les dysfonctionnements générés par le développement spectaculaire des villes, ainsi que la problématique de la promotion et la mise à niveau de celles-ci, notamment par leur positionnement dans l'espace national et international. Ce qui nécessite des recompositions souvent rapides et efficaces. Encore faudrait-il faire preuve de souplesse et d'imagination.
Car si la relation entre crise urbaine et nouveaux outils est clairement établie, il reste moins évident que le diagnostic de cette crise reste non encore atteint, ceci renvoie à la pertinence et l'efficacité de ces nouveaux outils. Peuvent-ils être la meilleure réponse à une crise qui n'est généralement que partiellement diagnostiquée ?
La ville, à la fois sujet et objet est complexe, au vu des spécificités locales, des particularismes culturels, des évolutions et des ruptures historiques qui sont à l'origine de la variété, dans le temps et dans l'espace, des villes et des mutations urbaines qu'elles subissent continuellement.
Dans ce sens, les acteurs doivent donc s'approprier l'image qu'ils ont confectionnée pour leur ville, car elle est censée être née d'une volonté politique et d'un acte démocratique.
Cette image permettrait, en conséquence de doter la ville d'une identité collective qui projetterait son unité et sa centralité en chacun des lieux qui la manifestent.
Le but n'étant pas seulement de présenter des projets d'embellissement, mais de permettre à la ville d'être concurrente et compétitive d'une part, et de transcender l'inégalité dans la répartition de la qualité urbaine et par conséquent l'exclusion et la marginalisation.
Aussi, est-il important que la politique de l'unité de la ville puisse permettre à la ville et à la société d'évoluer à la même vitesse pour ne pas détourner le projet social car la ville ne doit pas fonctionner comme un frein pour la promotion sociale et pour le développement de la citoyenneté.
N'est-il pas temps pour laisser opérer de nouveaux rapports entre puissance publique, acteurs privés et société civile, permettant de reconsidérer les enjeux politiques et sociaux de l'action urbaine et de stimuler l'imagination des acteurs locaux quant à leur façon de voir et de penser leur champ d'action?

Les villes algériennes, à l'instar d'autres villes, méditerranéennes en particulier, n'ont pas été épargnées par l'influence négative de certains facteurs tels que le temps, la nature et les hommes (combinés ou sporadiques) qui leur ont été imposés, ce qui a perdu un peu de leur élan, leur fonction et leur sens de la civilisation. Cependant, le tissu urbain ancien et historique de ces villes ont connu la plus grande partie de l’impact. Comme dans la plupart des centres urbains algériens, le centre-ville de M’sila fait partie des anciens quartiers résidentiels qui connaissent un certain nombre de problèmes qui ont affecté son statut urbain et fonctionnel, et qui reflètent le mode de vie de ses habitants, ce qui a entraîné l'apparition d'un désordre urbain et la diffusion d'une image urbaine déformée du patrimoine architectural de cette région. Avec le temps, Il est devenu incapable de suivre le rythme des développements et loin de ses aspirations. Afin de connaître les mécanismes nécessaires pour améliorer sa sphère urbaine et travailler à la développer et à préserver ce patrimoine culturel, et pour contenir ce phénomène, nous avons dû chercher à réformer cette situation dans le but de fournir les conditions de confort à ses habitants. Dans cette étude, nous avons donc opté pour la recherche des causes les plus importantes qui sont à l’origine des problèmes rencontrés par le centre de cette ville, et par conséquent proposer des solutions appropriées à cette situation, tout en préservant le patrimoine ancien de la ville, qui correspondrait à ses caractéristiques et à ses ingrédients et œuvrer à son de développement et sa promotion.

A l'instar des villes méditerranéennes, les villes algériennes n'ont pas été épargnées par l'influence négative de certains facteurs tels que la nature, le temps et les hommes (combinés ou sporadiques) qui leur ont été infligés, ce qui a perdu un peu de leur essor, leur fonction et leur sens de la civilisation. Bien que, le tissu urbain ancien et historique de ces villes ont connu la plus grande partie de l’impact. Comme dans la plupart des centres urbains algériens, le centre-ville de M’sila fait partie des anciens quartiers résidentiels qui connaissent un certain nombre de problèmes qui ont affecté son statut urbain et fonctionnel, et qui reflètent le mode de vie de ses habitants, ce qui a entraîné l'apparition d'un désordre urbain et la diffusion d'une image urbaine déformée du patrimoine architectural de cette région. Avec le temps, Il est devenu incapable de suivre le rythme des développements et loin de ses aspirations. Afin de connaître les mécanismes nécessaires pour améliorer sa sphère urbaine et travailler à la développer et à préserver ce patrimoine culturel, et pour contenir ce phénomène, nous avons dû chercher à réformer cette situation dans le but de fournir les conditions de confort à ses habitants. Dans cette étude, nous avons donc opté pour la recherche des causes les plus importantes qui sont à l’origine des problèmes rencontrés par le centre de cette ville, et par conséquent proposer des solutions appropriées à cette situation, tout en préservant le patrimoine ancien de la ville, qui correspondrait à ses caractéristiques et à ses ingrédients et œuvrer à son de développement et sa promotion.

Identification de la matière d’enseignement

Option : Gestion de la ville
Année d’étude : Master I
Semestre : S1
Intitulé de l’UE : Unité Méthodologique UEM
Intitulé de la matière : Politique de la ville
Crédits : 4
Coefficients : 3
Durée du programme : 14 séances


Objectif général de la matière d’enseignement :
• initiation aux problèmes de la ville et à la problématique urbaine
• sensibilisation à la cohérence et l’équilibre du système urbain

Objectifs d’apprentissage
• assimilation des outils de mise en œuvre de la politique de la ville
• acquisition des connaissances et des savoirs sur la qualité urbaine

Le logement social en Algérie a connu des dissensions avec le modèle culturel de ses habitants. Ce conflit, ainsi avéré, met en évidence les intentions prétentieuses au référent étouffant des maîtres concepteurs (Architectes au service des décideurs politiques) et les réactions légitimes des habitants usagers.
À partir d’un échantillon de 210 ménages effectué sur quatre cités de la ville de M’sila (1000 logements, 600 logements ,300 logements et 206 logements sociaux locatifs), situées dans la zone d’habitat urbain nouvelle (ZHUN) instituée, dans les années 80, comme solution aux problèmes de logements , notre présente étude s’est élaborée des outils méthodologiques spécifiques à la problématique de l’appropriation de l’espace par ses usagers, pour lesquels il a été conçu, traduite par des transformations-adaptations exécutées sur le logement. L’analyse effectuée a permis de mettre en évidence la corrélation des pratiques sociales de l’espace avec deux variables, à savoir : L’exiguïté spatiale et la maturité citadine.
Les enseignements tirés de cette analyse, dévoilent que c'est plutôt une nouvelle manière d’appropriation de l’espace issue de l’intégration du mode d’habiter traditionnel avec celui du dit moderne. Ces préceptes révèlent que les manières d’appropriation adoptées par cette population présentent plutôt des convergences chez la majorité des ménages enquêtés que des tentatives d’appropriation isolées. Ce sont plutôt de véritables opérations de rénovation et d’innovation que de simples raccommodages.
Les résultats de notre analyse nous ont permis de dessiner l’évolution de cette population algérienne en matière d’habiter dans ce type de logement ; ce qui a permis d’avoir une vision des choses en vue de progresser dans ce type de logement, en réduisant les écarts qu’il présente avec ce nouveau mode d’habiter.

Le logement social en Algérie a connu des dissensions avec le modèle culturel de ses habitants. Ce conflit, ainsi avéré, met en évidence les intentions prétentieuses au référent étouffant des maîtres concepteurs (Architectes au service des décideurs politiques) et les réactions légitimes des habitants usagers.
À partir d’un échantillon de 210 ménages effectué sur quatre cités de la ville de M’sila (1000 logements, 600 logements ,300 logements et 206 logements sociaux locatifs), situées dans la zone d’habitat urbain nouvelle (ZHUN) instituée, dans les années 80, comme solution aux problèmes de logements. Notre présent article s’est élaboré des outils méthodologiques spécifiques à la problématique de l’appropriation de l’espace par ses usagers, pour lesquels il a été conçu, traduite par des transformations-adaptations exécutées sur le logement. L’analyse effectuée a permis de mettre en évidence la corrélation des pratiques sociales de l’espace avec deux variables, à savoir : L’exiguïté spatiale et la maturité citadine.
Les enseignements tirés de cette analyse, dévoilent que c'est plutôt une nouvelle manière d’appropriation de l’espace issue de l’intégration du mode d’habiter traditionnel avec celui du dit moderne. Ces préceptes révèlent que les manières d’appropriation adoptées par cette population présentent plutôt des convergences chez la majorité des ménages enquêtés que des tentatives d’appropriation isolées. Ce sont plutôt de véritables opérations de rénovation et d’innovation que de simples raccommodages.
Les résultats de notre analyse nous ont permis de dessiner l’évolution de cette population algérienne en matière d’habiter dans ce type de logement ; ce qui a permis d’avoir une vision des choses en vue de progresser dans ce type de logement, en réduisant les écarts qu’il présente avec ce nouveau mode d’habiter.